Pax Vobis : un documentaire sur le peintre robertsauvien Roger Dale
Pax Vobis est un film documentaire réalisé par Charles Schnaebele et Virgile Tyrode, le film retrace le parcours, la vie et le travail de Roger Dale.
Roger Dale est un artiste habitant de la Robertsau dont nous parlons souvent sur le Blog.
Charles Schnaebele et Virgile Tyrode l’ont suivit en direction de la Bosnie-Herzégovine à la veille d’une exposition monumentale. Il en ressort un film documentaire de 52mn qui sera présenté vendredi prochain au Star Saint Exupéry : Pax Vobis (Que la paix soit avec vous).
Voici la présentation du synopsis :
Au volant de sa camionnette, le peintre alsacien Roger Dale traverse l’Europe avec appréhension en direction de la Bosnie-Herzégovine. À l’arrière du fourgon il transporte son plus grand chef d’oeuvre, une impressionnante série de 100 toiles : « Struthof, les 100 vues de la liberté », réalisée en 1994 dans l’enceinte du camp de concentration nazi de Natzwiller-Struthof, en Alsace. Alors qu’il est attendu à Sarajevo dans la galerie Collegium Artisticum pour l’exposer, il se raconte, partage ses souvenirs, ses réflexions sur le monde et son besoin insatiable de peindre pour le penser/panser.
La bande annonce du film :
Une projection gratuite aura lieu le vendredi 7 mars 2025 à 19h45 au cinéma Star Saint Exupéry (rue du 22 novembre à Strasbourg). Il est impératif de réserver votre place en cliquant sur ce lien.
Il sera certainement diffusé sur une télévision de la région.
Le film de 52 mn est produit par ANA Films en coproduction avec VosgesTV et l’aide à la production du CNC, de la Région Grand-Est. Aide au développement de la Procirep-Angoa.
Compères de longue date, Charles Schnaebele et Virgile Tyrode se retrouvent à Paris, où ils cherchent des petits jobs dans le cinéma et le bâtiment, pour un jour pouvoir réaliser et produire leurs propres documentaires. Lorsqu’ils apprennent que Jean-Pierre Mocky cherche des stagiaires non rémunérés, ils sonnent à sa porte. Très vite intimes du réalisateur, ils saisissent l’occasion tant attendue, celle de faire un film à leur compte en dressant le portrait du maestro. De cette poignée de mains naît La Loi de l’albatros.