Primaire : forte mobilisation à la Robertsau
C’était jour de vote dimanche à la Robertsau. Les électeurs de « la Droite et du Centre » étaient appelés à choisir parmi sept candidat(e)s. Difficile de trouver une différence entre la journée électorale des primaires et un jour de vote officiel. Il faut dire que le quartier de la Robertsau est le seul de Strasbourg à voter fortement…
C’était jour de vote dimanche à la Robertsau. Les électeurs de « la Droite et du Centre » étaient appelés à choisir parmi sept candidat(e)s.
Difficile de trouver une différence entre la journée électorale des primaires et un jour de vote officiel. Il faut dire que le quartier de la Robertsau est le seul de Strasbourg à voter fortement à droite.
C’était donc l’affluence des grands jours à l’école de la Robertsau et à la Niederau, l’attente était longue. En revanche, à la Cité de l’Ill, il n’y avait presque personne à midi, seule une dizaine du bulletins avait été glissée dans l’urne : la droite aurait-elle perdu son ancrage populaire ?
Nous avons fait le tour des bureaux de vote de la Robertsau dimanche matin pour capter les différentes ambiances.
On y a même rencontré une figure de la politique alsacienne qui est descendue de son Aventin pour soutenir leur champion : rencontre avec Robert Grossmann à la sortie du bureau de vote à la Niederau.
La droite avait pourtant critiqué l’organisation des primaires de la gauche en 2011 (voir cet article du Figaro) et a fini par s’y convertir.
Il y avait double signature (signature de la charte et participation financière de 2 €) plus la signature après le vote. Une organisation qui générait des files d’attentes importantes sauf à la Cité de l’Ill.
Sur Rue89 Strasbourg :
« l’ancrage populaire de la droite »… ça fait du bien de commencer la journée par une bonne blague, tiens ! 😀
Enfin débarrassés de Sarkozy. Définitivement, on espère. Le problème, c’est que Fillon est pire que lui : faible avec les forts, fort avec les faibles. Devrait bien s’entendre avec Poutine (c’est avéré), May et Trump. De quoi bien préparer le terrain à Le Pen.