[Rencontre] Jean Chuberre, l’homme que l’on découvre (un peu) à travers ses livres
Jean Chuberre vient de publier son quatrième ouvrage « Des Os sur la plage » aux éditions Edilivre. Rencontre avec ce Robertsauvien-Breton qui a plus d’un tour dans son sac.
À l’occasion de la sortie de son quatrième roman policier « Des Os sur la plage » nous l’avons rencontré chez lui. Histoire de découvrir cet homme qui aime se cacher derrière une façade un peu austère, mais qui dévoile un peu ses passions, sa vie et ses valeurs à travers l’écriture.
Jean Chuberre est une personnalité Robertsauvienne. Ancien président de l’Escale et de l’ASSER (Association de sauvegarde de l’environnement de la Robertsau), actuel président du comité du souvenir Français de la Robertsau, il anime en plus la feuille du Lauch et le Crieur de la Robertsau. C’est dire s’il est ancré dans la vie locale de la Robertsau.
Mais c’est la Bretagne, le pays de son enfance, qui va servir de décor à son intrique au point d’en devenir presque un personnage à part entière. L’histoire commence le jour où Jean Landais, jeune homme qui vient de rater son baccalauréat, arrive dans un nouveau lycée de Morlaix où il sera élève-pion.
Mais nous n’en dévoilerons pas plus, nous vous proposons de découvrir ci-dessous l’entretien où nous parlons de son envie d’écrire, de ses personnages, un peu de la Robertsau…
Rencontre avec Jean Chuberre par blogrobertsau
Jean Chuberre joue les modestes, mais « Des Os sur la plage » est un très bon polar.
Les non-Bretons se sentiront un peu perdus dans les premiers chapitres, où la multitude de noms et de lieux bretons font qu’il faut un peu s’accrocher pour bien suivre l’enquête. Mais les amoureux de Simenon seront heureux de retrouver une ambiance des années 1950 où l’on pourrait voir surgir le fameux commissaire Maigret au détour d’une page.
Après une longue enquête sur un réseau de prostitution, le commissaire Yves le Gwen prend quinze jours de vacances dans la baie de Morlaix. Il est bien décidé à les consacrer à la lecture, au sport et au silence, lorsqu’il rencontre un homme qui vient vers lui brandissant un os calciné. La police locale enquête sur des enlèvements de jeunes femmes. Y aurait-il un lien ?
Jean Chuberre démontre à travers ce livre qu’il maitrise parfaitement l’écriture et les codes des romans policiers, car il vous mènera pendant ces 300 pages par le bout du nez et jusqu’à la dernière ligne !
Merci pour l’article et la vidéo, même si je me trouve très mauvais, mais cela ne dépend pas de vous. C’est une chose de donner un cours ou de s’exprimer devant un groupe. Cela en est une autre de répondre à un interview.
Cordialement.
merci pour le message. Nous on trouve que c’est une très bonne interview. 😉