Garés comme des merdes : quand les collectivités montrent l’exemple !
C’est beau la pédagogie. Pas étonnant que l’on se gare comme des merdes à la Robertsau, il suffit de prendre exemple sur les collectivités.
C’est beau la pédagogie. Pas étonnant que l’on se gare comme des merdes à la Robertsau, il suffit de prendre exemple sur les collectivités.
Si un jour, on offre une magnifique prune parce que vous avez oublié de prolonger le paiement de votre horodateur fétiche, on vous suggère de montrer les photos de cet article et de poser la question : « si eux le font, pourquoi je n’y ai pas droit ? »
1 / Garé comme une merde et pollueur
Première leçon : si déjà vous vous affranchissez de toutes règles, que vous faites honte au logo de votre collectivité que vous arborez fièrement sur la voiture, faites en plus une « Trumperie », c’est à dire un doigt d’honneur à notre intelligence et à l’environnement.
Notre professeur du jour a stationné le véhicule mis à disposition par la ville de Strasbourg sur un trottoir, à l’intersection de deux passages piétons. C’est déjà d’un bon niveau : une marque d’expérience. Mais en plus, il réalise son exploit à 5 mètres d’un parking quasi-vide… en laissant son moteur allumé. Stationnement gênant compte triple avec double bonus : retenez-bien la leçon du maître !
2/ CTS : terminus pour les vélos
Quand on vous disait que les transports en commun sont prioritaires par rapport aux vélos, en voici un bel exemple à suivre évidemment si vous souhaitez avoir votre licence « Garé comme une merde ».
Nous sommes au terminus de la ligne L1 près de l’ASL Robertsau. Il y a souvent un bus qui va commencer son cycle, et un autre qui arrive… Une situation qui doit se reproduire des dizaines de fois par jour.
En attendant le départ de son collègue, le chauffeur du second bus a toujours la bonne idée de stationner sur les pistes cyclables. Un joli doublé qui le propulse major de sa promo ! Félicitation !
On souhaite à toutes et à tous une belle rentrée, et nul doute que grâce à vos glorieux professeurs, vous aurez un bulletin magnifique à la fin du premier trimestre !
Pour les véhicules de l’eurométropole… un classique qui démontre bien que pour Strasbourg la politique vélo de la ville n’est rien de plus que du « cyclowashing ».
Pour les bus, c’est pas plutôt un problème d’infrastructure ? Je connais pas le coin. Même si j’ai peu d’espoir concernant certains chauffeurs bus qui estiment qu’en tant que TEC ils ont tous les droits. (j’ai bien dit CERTAINS 😉 )