Ma Robertsau de Robert Grossmann
Sortie officiellement le 21 novembre, vous pourrez rencontrer Robert Grossmann samedi 29 novembre de 10 à 12h00 à la librairie La Parenthèse.
Le Blog de la Robertsau a eu un long entretien avec Robert Grossmann, principalement dans le parc de Pourtalès où l’ancien président de la CUS, mais surtout ancien conseiller général du quartier, nous parle de ses passions : la Robertsau, l’art contemporain, Mélanie de Pourtalès, un peu de politique. Et laisse apparaitre un peu de nostalgie.
Nous vous proposons de découvrir cet entretien vidéo ci-dessous ainsi que les premières pages de son livre.
Ma Robertsau : Robert Grossmann par blogrobertsau
Alors que Robert Grossmann a mis fin à sa longue carrière d’élu en février dernier, il a entamé une série de conférences, principalement sur Mélanie de Pourtalès, comme à l’occasion de la semaine inaugurale du nouveau foyer protestant de la Robertsau :
« On me demanda, en tant qu’historien de la comtesse, d’y donner la conférence inaugurale d’une semaine culturellement riche. Un public nombreux vint se passionner pour la belle Mélanie et manifesta un réel intérêt pour le passé de notre quartier. On me posa de multiples questions sur le château et ses hôtes. On me dit : «Vous devriez raconter encore.» »
Il s’est donc mis à l’écriture d’un livre sur la Robertsau, et tout en relatant une partie de son évolution avec une trame historique, il y raconte son parcours politique, ses engagements et ses passions :
« J’ai eu envie de raconter l’envoûtante forêt de mon enfance, les abords du Rhin et mon village de maraîchers aux portes de Strasbourg. Je fais défiler les figures pittoresques et certains caractères, achdi Robertsaüer, ces « authentiques Robertsauviens » que j’affectionne tant. J’évoque aussi des pages de la grande histoire dont la Robertsau fut le théâtre : le château des Bock-Boecklin au XIIe siècle, la merveilleuse comtesse Mélanie de Pourtalès, le duel d’un ambassadeur d’Autriche, l’intuition du général Ducrot à la veille de la guerre de 1870.
Je ne résiste pas au plaisir de narrer des événements récents, le sauvetage du Coq Blanc, des exploits sportifs, les artistes inspirés par la Robertsau, les trois sapins, la place du Tilleul et bien d’autres séquences dont aucune chronique jamais ne parlera. Il y est aussi (un peu) question de politique…
Ce kaléidoscope d’émotions et d’informations, d’allégresse et parfois de mélancolie, c’est ma Robertsau, telle que je l’aime. Je vous invite à mieux la connaître. »
Les premières pages du livre de Robert Grossmann : Ma Robertsau © Editions de la Nuée Bleue – Avec l’accord de l’auteur.
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